Pour cette session, comme il s’agit de beaucoup d’information très ponctuelles, je vous livre mes notes telles quelles. Tout ce que je pourrais ajouter comme texte ne serait que de l’enrobant cosmétique, et comme ça ne servirait pas à une meilleure compréhension, je préfère m’abstenir.
CloudCoverShow sur Channel9 pour suivre l’actualité d’Azure.
L’offre gratuite est désormais chapeautée, c’est-à-dire qu’on ne peut pas dépenser plus que prévue, et que les services s’arrêteront. C’est une excellente décision, je trouve, parce que le fait de donner un numéro de carte et de risquer de se faire facturer si on ne maîtrise pas bien (oubli d’arrêt d’une instance, mauvaise anticipation des ressources, utilisation extérieure non anticipée, etc.) n’était clairement pas bonne. Les deux orateurs précisent qu’ils se sont battus avec Microsoft Corp pour que ceci soit accepté, et ils ont bien fait !
Lien Help and Support accessible y compris sur les offres gratuites, et avec une personne réelle derrière, qui parle français et qui est très réactive en général.
Une interface permet de suivre la facturation en temps réel sur un contrat Azure. Pas eu le temps de noter le lien toutefois, mais je pense que ce ne doit pas être dur à retrouver.
Une autre permet de profiler les requêtes sur SQL Azure, avec le plan d’exécution, etc. Les orateurs ne sont pas convaincus de l’interface, parce qu’elle montre peu. Perso, je trouve ça bien au contraire de ne pas crouler sous les informations, mais de voir uniquement les infos globales, et de pouvoir ensuite creuser à notre rythme.
Azure Data Sync est en CTP 2, et SQL Azure Reporting est livré (désormais, les rapports qui étaient locaux même s’ils tapaient sur de la donnée Azure, peuvent tourner sur le Cloud même).
SQL Azure Federation : sharding d’une base de données pour éclatement sur plusieurs bases physiques. Attention par contre à bien garder sur toutes les bases les données de référence. Utiliser les partitions les plus logiques possibles de façon à ne pas pulvériser les performances sur jointures. Typiquement, une clé de sharding de type géographique est intéressante, de façon à permettre de répartir les données sur des sessions géographiques différentes.
Trois instances extra-small peuvent être obtenues en échange d’une instance small, ce qui permet de tester même sur des petits abonnements des systèmes avec plusieurs instances.
A partir de maintenant, c’est bien un IIS complet qu’il y a dans Azure. Donc, attention à toutes les docs antérieures à 2011, car elles parlent peut-être de Hosted Web Core.
Plutôt que de devoir mettre en place les certificats à la main, on peut utiliser le Publish Wizard dans Visual Studio pour récupérer un fichier XML avec toutes les informations mises en place automatiquement par Azure.
Windows Azure Connect (en Release) permet de créer un VPN IPSEC pour de l’intégration forte vers des machines locales. Il s’agit de cas extrêmes où on a besoin d’un VLAN, sachant que beaucoup de scénarios peuvent tout à fait être traités avec un bus de messages.
Pour éviter les problèmes liés à l’affinité de serveur pour la session, on peut utiliser le cache Azure, qui est prévu pour être utilisé comme un mode ServerState ou SQLServerState.
La fédération d’identité s’ouvre à des fournisseurs d’authentification entreprise, en plus des traditionnels Google, Yahoo, Facebook, LiveID, etc.
WAZAbi pour permettre de l’autoscaling.
Intégration TFS Build + Azure => DeployToAzure et TFS Build Extensions. Une partie de l’ALM peut être déployée sur Azure, et il est également possible d’intégrer dans TFS la publication dans Azure.